La plupart des résidents non permanents (RNP) au Canada sont titulaires d’un permis d’études ou d’un permis de travail. Selon Canadian Visa Expert, la plupart de ces personnes sont bien informées et parfois surqualifiées pour certains emplois au Canada.
Comme beaucoup d’autres pays, le Canada autorise les étudiants internationaux et les travailleurs étrangers à vivre temporairement au Canada. Bien que ces personnes vivent au Canada et aient un impact considérable sur l’économie du pays, elles n’ont pas le droit de vote.
Toutefois, leur participation à d’autres secteurs de l’économie joue un rôle essentiel dans la croissance de l’économie. Ils influencent le système d’enseignement postsecondaire et contribuent, en tant que travailleurs et consommateurs, à la main-d’œuvre et à l’économie, respectivement.
Canadian Visa Expert a pu établir que 2,5 % de la population canadienne sont des résidents non permanents, dont environ 60 % sont titulaires d’un permis de travail, d’un permis d’études ou des deux.
Les résidents canadiens titulaires d’un permis d’études ou de travail et leur participation au marché du travail
"L'économie canadienne repose sur les résidents non permanents, en raison du vieillissement de la population, de la pénurie de main-d'œuvre et de la baisse du taux de fécondité"
À l’heure actuelle, on sait que les RPN représentent environ 74,2 % de la main-d’œuvre canadienne. Environ 36,4 % de ces résidents travaillent dans le secteur de la vente et des services.
Si l’on considère le niveau d’études moyen de la population canadienne, les résidents temporaires sont plus qualifiés que les autres. Cependant, on les trouve surtout dans des professions qui ne nécessitent pas d’éducation formelle ou qui n’ont pas besoin de la plupart des diplômes supérieurs qu’ils ont acquis.
De même, les résidents canadiens titulaires d’un permis d’études ou de travail sont plus jeunes que le reste de la population canadienne. Environ 60,1 % des NPR ont entre 25 et 34 ans.
« L’économie du Canada dépend des résidents non permanents, en raison du vieillissement de la population canadienne, des pénuries de main-d’œuvre et de la baisse du taux de fécondité.”
